mercredi 9 avril 2008

A propos de l’unification de la Relativité Générale et de la Théorie Quantique

1)Hypothèses:
- Le quantum ne serait pas une quantité de matière ni d’énergie mais une quantité unitaire de “matièrgie”. J’entends par là un précurseur à la matière et à l’énergie mais aussi aux 4 actions forte, faible, électromagnétique et gravitationnelle, précurseur nécessitant plus de 4 dimensions pour exister.
- Notre univers (l’Univers) serait un sous-ensemble d’un méta-univers de plus de 4 dimensions rempli de “matièrgie”, cette “matièrgie” baignerait l’hypersurface de notre Univers sans le pénétrer du fait du manque de dimensions.
- Les trous noirs, après avoir comprimé et concentré la matière et l’énergie la conduisent jusqu’à l’état de “matièrgie”, celle-ci perfuse alors hors de l’Univers au travers de son hypersurface.
- Ce serait la présence de ce potentiel de "matièrgie", en contact avec l’hypersurface de l’Univers, que les physiciens qualifient d’énergie du vide. Ils l’ont déduite de leurs équations mais ne l’isole pas physiquement et ne la quantifie pas bien.
- Si la “matièrgie” au contact de l’hypersurface de l’Univers est au repos en un point, les promoteurs élémentaires des quatre actions fondamentales sont en équilibre et s’annihilent, ni matière, ni énergie ne se manifeste : nous avons affaire à une parcelle de vide absolu. Cette situation d’équilibre idéale peut n’être que théorique même si elle est fréquemment approchée.
2) Conséquences :
Une perturbation unitaire en un point quelconque se matérialiserait par un déséquilibre oscillatoire (fluctuation du vide) entre les quatre actions, déséquilibre qui favoriserait tantôt le promoteur de l’action électromagnétique, tantôt le promoteur de l’action gravitationnelle et se propagerait de proche en proche à la vitesse C. Selon la phase de ce déséquilibre oscillatoire, la dominance instantanée de l’action électromagnétique ou au contraire celle de l’action gravitationnelle voire celles des autres actions donneront une apparence d’onde électromagnétique ou une apparence de particule massive. Observé sur une durée plus longue, ce quantum aurait soit l’apparence d’un rayonnement de vitesse C et d’une fréquence donnée soit l’apparence d’une particule de masse moyenne inférieure à la valeur instantanée maximale.
On pourrait aussi dire qu’une perturbation d’intensité suffisante en un point de notre Univers dissocie un peu de la "matièrgie" qui baigne son hypersurface et laisse entrer soit de l’énergie, soit de la matière (particules...).

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